Mon âme s’éveille à la chaleur du brûleur.
Un vent léger porte ma bulle éphémère.
Entre ciel et mer, ni dans le ciel profond,
encore moins les pieds sur terre,
un espace entre deux eaux,
des sentiments, opposés, s’enlacent.
Je suis un homme confiné dans cette technologie qui me porte,
dans ces grands espaces, flottant au fil de mes rêves.
Le sentiment de liberté me submerge dans cet infiniment grand.
Une part de rêverie au creux des éléments,
quitter la terre, évasion dans un monde de volupté,
cocon ouaté, perdre pied.